Oui je sais, très mauvais jeu de mots ; l'important est que je ne m'éloigne pas du domaine de prédilection du spéléologum vulgaris, les trous ! et voici pour la mise en bouche (encore un trou ...) la photo-mystère : Kekcekçadonc ?
Surréaliste, non ?
Et pendant que tu agites ardemment ta matière grise, Ô lecteur bien-aimé, je poursuis la narration de nos ébats transpirants en cet après-midi caniculaire. La réponse à la fin ...
Car un trou (eh oui) nous avait été indiqué, qui devait être prometteur selon notre informateur. Et nous voilà donc partis, Sonia et moi (et Tango naturellement), à la poursuite des sirènes de l'aventure.
Hem, la photo ci-contre te met-elle sur la voie ?
En tout cas, se livrer à des exercices sportifs vêtus d'une combine spéléo par 32°C à l'ombre, c'est de la démence. À peine 1/2 heure qu'on avait quitté le parking, que j'avais déjà perdu 1 litre ... (oui je sais, ça ne me fait pas de mal
). Quelle idée aussi de s'être équipés comme si on descendait à Plana ! c'est ça, l'espoir ...
Allez, encore une petite photo en passant, pour aider ...
Le trou en question était en falaise, mais on ne connaissait pas sa localisation précise ; il a donc fallu chercher, chercher, à travers les buissons maigrelets de buis sauvage poussant sur la roche.
Pendant ce temps là, MÔssieur Tango, qui ne supporte pas de voir son maître s'éloigner mais qui ne pouvait évidemment nous suivre, ne cessait d'aboyer et de gémir (qui va s'occuper de moi, si tu dévisses, mon cher maître ?).
Enfin, après avoir éliminé deux petits trous rachitiques, nous sommes tombés sur un candidat plausible ...
... quoique fort étroit (pour moi, en tout cas, malgré les litres déjà perdus ce jour !).
Bon, je ne vous en dirai pas plus aujourd'hui ; d'ailleurs, il faudra revenir cet hiver afin de vérifier un petit détail ... non négligeable !
En attendant, on a passé un bon moment, n'est-ce pas Sonia ?
Ah oui, j'allais oublier, la photo mystère ...
Et maintenant, c'est plus clair ?